[Julian] Liste de recherches de jeux vidéos

WonderSwan :
Meitantei Conan : Yuuguro No Oujo	Meitantei Conan : Nishi No Meitantei Saidai No Kiki!?	Lode Runner	Puzzle Bobble	Space Invaders
WonderSwan Color :
	Meitantei Conan : Majutsushi No Chousenjou	Golden Axe	Tetris

[Coraline] Doragon Bōru !

Il y a peu de temps, je suis retombée sur mon ancien portfolio Panini, avec pas mal de cartes à l'intérieur ; j'étais à la fois, contente et déçue de cette trouvaille (je trouvais relativement moches la plupart des cartes !). J'ai donc décidé de me séparer de ces cartes-là, pour m'en procurer de nouvelles ! Arf, nostalgie, quand tu nous tiens !

Je me suis donc lancer à la conquête des collections Visual Adventure et Carddass (Hondan,Bp/DP), qui sont, pour moi, les deux plus belles séries ! (Les PP Cards et les Super Barcode Wars n'étant pas très loin derrière)

Je vous présente donc les pièces que je possède à ce jour...

1/ Visual Adventure ou série de vie !

Pour le moment, un seule Prism Set, celui de la Part 95' ! Puis les Reg Set ; Part 1, 5, 95' et 95'EX. J'attends d'ailleurs avec impatience de recevoir la Part 2 !

2/Carddass ou la nostalgie absolue !

Avant tout, les deux Reg Set des Part 1 et 2 (et unique, puis ce que j'ai finalement décidé de ne faire que dans les prismes pour cette série là ; pas mal de Reg Set sont beaux, mais il y a toujours une ou deux cartes qui gâchent tout ! Et moi, ça m'énerve. Or, dans ces deux premières Parts, je trouve TOUTES les cartes sublimes !).

Prism Set Part 1 et 2 ; Il me manque toujours la n°46 de la Part 2 d'ailleurs..!

Prism Set Part 3 et 4...

Prism Set Part 5 et 8...

Prisme Set Part 9 et 11...

Prism Set Part 12 et 15... Il me manque là aussi une carte pour la Part 12... n°500 !

Une Shin Card de la Carddass Premium Box Volume 1. La seule que j'aurai. Parce que les autres, je les trouve pas top.

3/ PP Cards ou les cartes qui déchirent leur mère !

Quelques prismes, toutes Parts confondues, que j'ai eu ici et là.

Puis les prismes soft de la Part 27, (Thanks JP !) ; là aussi il m'en manque quelques unes !

Je m'y mettrai sérieusement, dès que j'en aurai terminé avec les Carddass... Le chemain risque d'être long !

4/ Une petite Characters Collection, seule au monde (Merci Juju) !

Mais néanmoins sublime !

A suivre !

[Jeanphi85] Les jeux qui j'ai fini

Je ne considère pas vraiment les jeux vidéo comme une collection, mon but premier est de jouer et m'amuser avec. J'ai envie de finir tout les jeux que j’achète.

je n'ai pas souvenir d'en avoir terminé beaucoup quand j'étais enfant donc je me rattrape et c'est l'occasion de voir les fameuses cinématiques de fin (ou pas).

Je ne vais pas jouer les testeurs du dimanche mais au moins vous livrer une petite impression sur les jeux que j'ai réussi à boucler.

MEGA DRIVE

Il est vraiment très joli, c'est un super jeu vraiment agréable.
J'ai dû mettre environ 2h30 pour le terminer.
Hormis quelques imperfections au niveau du maniement du sabre (c'est vraiment dur de taper sans se faire toucher) j'ai beaucoup apprécié.
Malgré tout, je préfère quand même la version snes de aladdin que j’espère choper très vite.




(Mode story avec krilin) oui oui ça compte !
Je partais avec de gros a priori sur ce jeu vu tout ce qu'on entend de négatif dessus et j'ai été vraiment surpris.
Je l'aimais beaucoup à l’époque et je me suis souvenu pourquoi en y rejouant.
Le jeu est très technique au corps à corps (plus que les butoden) la palette de coups est plutôt large (plus que les butoden).
Le mode story de chaque perso est agrémenté de superbes illustrations propres a chacun d'eux au début et a la fin de l'histoire.
Bref bon gros plaisir de remettre le couvert avec l'appel du destin.




Vraiment un gros coup de nostalgie c'est l'un des jeux qui a bercé mon enfance.
Je ne l'avais jamais fini à l’époque, et honnêtement je me demande pourquoi :D
J'ai terminé le jeu en 1h30 environ assez facilement. Seul le niveau dans l'eau m'a donné un peu de mal (syndrome sonic).
Le jeu est sublime visuellement et les dizaines de références aux films de Disney sont un vrai régal, il y a plein de surprises et de clins d’œil, le jeu regorge de bonnes idées.




(Mode story avec Ryu)
Je n'avais pas rejoué à SF II depuis des années alors que j'avais retouché à mortal kombat assez récemment et quelle claque !
A l’époque mortal kombat était vraiment mon jeu de fight préféré mais aujourd’hui on peut dire qu'il a vraiment mal vieilli, ce n'est absolument pas le cas pour street fighter.
Il faut dire que les jeux digitalisés ont triste mine de nos jours et un jeu en 2D classique passe beaucoup mieux.
Ici les graphismes sont super agréables, la prise en main ultra rapide, les coups sortent facilement, c'est un régal !
Au passage, heureusement que je possède une manette 6 boutons sinon je ne sais pas comment j'aurais pu y jouer...
J'ai fini le mode normal avec Ryu en 40 min environ, le jeu est moins dur que dans mes souvenirs.
J'avais un mal fou à battre des persos comme Blanka, Balrog ou Vega quand j’étais gamin et là tout c'est bien passé.
Sagat est vraiment très chiant par contre, il spam ses "hadouken" à l'infini donc j'ai dû passer au moins 15 minutes rien que sur lui.
BisoU fidèle à sa réputation est plutôt coriace et jouissif comme boss final.
J'ai adoré rejouer à ce jeu, je vais me procurer sa suite le plus vite possible !




Sonic 2 dans mes souvenirs était inférieur au premier, la seconde zone ne me plaisait vraiment pas à l’époque, malgré tout j'ai voulu l'acheter et me refaire une opinion.
Le jeu est magnifique ce n'est pas un secret, je crois que c'est le plus beau jeu mega drive auquel j'ai joué jusqu’à présent.
La qualité du sprite de sonic est bluffante, la sensation de vitesse n'a jamais été aussi saisissante, c'est du pur bonheur d’évoluer dans les niveaux.
Pour pas tomber dans la béatitude, j'ai quand même noter quelques bug dans le jeu avec des textures qui disparaissent et je me suis même retrouvé bloqué à un moment de manière incompréhensible.
Il m'a fallut deux essais pour le terminer, j'ai perdu contre le boss final la première fois, faute de continue.
J'ai fini par en voir le bout en 2h environ, il est plus long mais aussi plus difficile que le 1.
La série de 3 boss d'affilée à la fin, le tout sans anneaux, corse vraiment la chose.
Terminer le jeu demande une bonne connaissance des boss et un niveau de concentration digne de celui de piccolo.
J'ai vraiment adoré jouer à ce sonic ! il ne me reste plus qu'à acheter le 3 et finir le 1 sur mega drive dans les règles de l'art, oui sur ps3 c'est du cheat !



Lorsque j'ai voulu me procurer les jeux de mon enfance, certains titres me sont venus immédiatement a l'esprit.
Sonic, l'appel du destin et TMNT hyperstone heist sont certainement les premiers auxquels j'ai pensé.
Je n'ai pas eu ce jeu à l’époque, je me souviens l'avoir testé dans une magasin mais vu le prix ou je ne sais quoi mes parent ne me l'ont pas acheté.
je me souviens avoir été en total adoration quand je l'ai vu tourner et aujourd’hui j'ai mis fin à 15 ans de frustration.
Je ne vais pas comparer le jeu à turtle in time sur super nes, je le ferai lorsque je me serai procuré ce dernier mais évidemment les deux jeux ont énormément de similitudes.
Ce que je peut dire, c'est que le jeu est très beau, que c'est un magnifique cadeau pour ceux qui, comme moi, adorent, ou ont adoré, les tortues ninjas.
La difficulté est plutôt bien dosée, je l'ai fini au deuxième essai en 1h20 environ.
Les tortues sont super bien animées, de même pour les petites cinématiques, l'univers est très fidèle au dessin animé avec également pas mal de références aux deux premiers films.
niveau gameplay les persos sont super fluides et très réactifs.
En ce qui concerne l'aspect négatif, il y a trop peu de coups dans la palette. Si les animations changent d'une tortue à l'autre, les combos sont de même nature et il y a donc une petite lassitude qui s’installe.
Un coup spécial par tortue qui ne sert strictement à rien et qui par dessus le marché consomme des PV...
Les boss sont vraiment lisibles et n'offrent que peu de challenge et pour finir le gameplay reste inchangé durant tout le jeu à l’exception d'un tout petit niveau sur un surf.
En bref le jeu est super agréable malgr ses défauts. C'est carrément la classe de péter des centaines de foot avec sa tortue préféré et d’évoluer dans un univers qu'on adore.

Comme j'ai presque fait un review pour le coup et que je me transforme en jeanphi du grenier je vais même le noter !

15,5/20 \o/




Le beat'em all le plus culte de la mega drive voir même toute console confondue, une vrai exclu sega, une jaquette culte et un jeux d'enfance de surcroit.
Je ne pouvais pas passer à coté.
Je l'avais sur game gear et à 7 ou 8 ans j'avoue que je n'allais pas bien loin dans le jeu.
J'ai entrepris de le terminer récemment et la tache s'est avérée plus compliquée que prévu.
Il m'aura fallut 4 essais avant de le boucler, et ce, en 1h30 environ (je commence à me dire que c'est la durée moyenne d'un beat'em all).
Le jeu est.... vieux :D les graphismes sont assez sommaires comparé aux soft que l'on verra sur 16 bit les années suivantes, malgré tout il y a une véritable ambiance, ainsi qu'un gameplay d'une redoutable efficacité.
Je regrette certaines choses comme le recyclage de boss permanent (l'un des boss est carrément l'une des héroïnes mais avec une couleur différente).
Quoi qu'il en soit la magie opère le jeu nous emporte, on s'amuse, on veut avancer et en voir le bout pour découvrir ce qui va suivre.
Le système de choppe est excellent avec la possibilité de balancer un ennemi sur ses petits copains, la multitude d'armes diversifie clairement le gameplay, le coup spécial est ultra culte.
Il n' y a aucun doute street of rage est un super jeu.
Je suis également fan de l'histoire. Pour rappel: 3 jeunes policiers d'une vingtaine d'années décident d’éradiquer un gang qui a pris possession de la ville et a corrompu politiciens et forces de police.
Un scenario ultra kitch et tellement représentatif de cette période; on se croirait dans un film de Stallone des année 80, genre cobra ou démolition man, des références qui me parlent et donc un jeu qui me séduit.




Décidément je m’aperçois que j'adore les beat'em all, apres street of rage je voulais m'attaquer a l'autre légende du genre sur MD.
Pour commencer le design bien que simpliste est très réussi, le jeu est coloré et plutôt jolie pour l’époque. En revanche la prise en main n'est pas vraiment évidente et un petit temps d'adaptation est nécessaire pour manier son perso avec dextérité.
La première chose qui choque c'est que si comme dans tout les autres beat'em all on joue comme un bourrin on ne fait pas long feu.
En effet le jeu est plutot exigent il faut savoir se placer convenablement pour porter un coup, si on rate sa cible l'ennemi vous punira systématiquement.
En parlant des ennemis l'intelligence artificiel est l'un des point fort, les opposants chercheront toujours a vous encercler pour vous rendre la tache difficile.
Le nombre de coups limités n'entache pas le soft, la magie ainsi que les montures enrichissent suffisamment le gameplay pour que l'ont s'amuse.
Et d'ailleurs les dragons sont LE gros point fort de golden axe, c'est la toute l'originalité du jeu et c'est ce qui m'a attiré comme beaucoup d'autre quand j’étais petit.
La difficulté du jeu quand a elle est assez élevée et il m'aura fallu une dizaine de tentative avant de planter la golden axe dans le ventre du terrible Death Adder.
Le jeu est assez court, une fois qu'on le maitrise il ne faudra pas plus de 30-40 min pour le boucler.
cependant 2 modes de jeu supplémentaire sont présent, un mode "beginner" qui est une version plus facile est plus courte de l'histoire principal et un mode "duel" qui est un genre de mode survivor, ce dernier est vraiment très sympa.
Encore un jeu qui m'a fait passer de très bon moment.




Apres avoir terminé world of illusion j'avais envie de faire un autre épisode de cette saga et comme il n'en existe que deux sur 16 bit le choix était vite vue.
Le jeu est plutôt vieux et ce n'est donc pas ce qui se fait de mieux question graphismes mais l’atmosphère est excellente, on plonge avec plaisir dans l'univers de Disney.
Je regrette certaines choses comme le fait que l'ont ne puisse pas courir ou l'absence de checkpoint rendant parfois les niveau long et chiant a refaire.
A l'inverse de son successeur on peut sauter sur la tète des ennemi pour les éliminer, élément non négligeable et essentiel a mon sens dans un jeu de plate forme.
Mickey se laisse diriger très facilement et de manière très agréable, l'univers de Disney quant à lui est moins présent que dans world of illusion mais apporte tout de même du cachet au titre.
La grande méchante n'est autre que la reine de blanche neige et les sept nains et ça c'est la classe.
Niveau difficulté le jeu est relativement facile mais on y joue avant tout pour se détendre.
Il m'aura fallu 45 minutes environ et 2 tentative pour en venir a bout, en réalité seul 2 boss dont le final ainsi que le dernier niveau viendront corser la chose.
Un jeu de plate forme agréable comme je les aime, sans prise de tète, efficace et amusant, que demander de mieux.




Encore un jeu Mickey, les deux précédents m'ont tellement plu que évidemment j'ai envie de tous les faire.
Mickey mania fait partie des derniers jeux sortis sur MD et ça se voit.
C'est tout simplement le plus beau jeu 16 bit auquel j'ai jamais joué, les graphismes sont à tomber avec des effets 3D éblouissants pour l’époque.
Pour les fans du rongeur ce jeu est une véritable perle, on traverse tout les dessins animés ayant marqués l'histoire du personnage en commencant par le cultissime "steamboat willie".
Le premier niveau donne le ton immédiatement avec une réalisation hyper soigné et une mise en scene aux petits oignons.
Le perso est tout a fait maniable il n'y a rien a dire concernant le gameplay hormis qu'il est efficace et adapté.
Même en cherchant bien il est difficile de trouver un defaut a ce titre. Seul le niveau de difficulté pourrait en rebuter certains tandis que d'autre se rejouiront d'avoir un challenge sympa a relever.
Il m'aura fallu plus d'une vingtaine d'essais pour en voir le bout... en mode easy...
En plus de ça à la maniere d'un sonic il faut remplir certaines condition pour voir la veritable fin, condition que je n'ai pas remplis.
Pour conclure mickey mania est un jeu qui impressionne et qui ravira les plus grand fan de mickey en revanche les pieges sournois, les ennemis en masse et les timing affreux de certaines phases mettront a rude epreuve les nerfs de tout les casual gamer.




Un an s'est ecoulé depuis la defaite du vilain Mr X, mais aujourdui il est de retour plus vil et cruel que jamais !
Heuresement quatres jeunes flic de 20 piges vont retablir la paix dans une ville tombé au mains du crime et des cochonnes sado-maso !
Ce que c'est bon les street of rage !
Je n'avais jamais eu l'occasion de jouer au 2eme volet des aventures d'axel & co donc es-ce que la nostalgie en moins le titre me paraitra tout aussi genial ?
Je ne me suis pas posé la question au moment de l'acheter et j'ai vraiment eu raison, ce deuxieme opus sublime veritablement le concept.
Deux nouveaux personnages au casting et un en moins puisqu'il a été capturé par le mechant, je m'en fou vu que je ne joue qu'avec Axel.
Une palette de coup etoffée, des niveaux plus long, des graphisme plus soignés, des boss plus variés voici les nouveautées de street of rage 2.
De maniere a varier les combats chaque personnages disposent desormais de trois techniques speciales dont deux qui consomme des PV, il faudra donc les utiliser avec parcimonie mais ce changement donne une toute autre ampleur au titre avec des combat qui deviennent tout a coup beaucoup plus dynamique et evidemment moins repetitifs.
Les niveaux sont dosormais decoupés en differentes sequences avec au bout un mini boss pour enfin arriver au boss final de chaque niveaux.
Les ennemis sont donc plus diversifié, malgres tout on retrouve un syndrome desagreable qui est celui des boss recurant, des boss de niveaux precedent viendront en guest par la suite en plein milieu des niveaux.
concernant la durée et la difficulté c'est sensiblement la même chose que le premier, huit niveaux a egloutir en 2 heures environ.
la difficulté m'a semblé moins importante que dans le 1, il m'aura fallu trois essais pour le finir, les coup speciaux facilitent clairement la progression et permettent de se sortir de situation difficiles.
Voila street of rage 2 est en tout point superieur a sont predecesseur la mega drive est vraiment la reine des beat em all, pour tout les adeptes du genre c'est juste incontournable.




Le méchant Death Adder est de retour (alors que je m’étais donné un mal de chien pour le défaire récemment).
Bon j'ai encensé pas mal de jeu dans cette article et cette bonne dynamique va prendre fin.
Si j’étais content de retrouver le monde de golden axe on ne peut pas dire que le jeu regorge de bonnes choses, C'est un copié collé absolu du premier volet, il n'apporte pour ainsi dire aucune nouveauté.
Le coup retourné, élément indispensable du gameplay a disparu et laisse place a des techniques aussi inutiles que difficiles a sortir.
Le jeu est plus court, plus facile, les musiques sont mauvaises, vraiment peu d'effort dans la réalisation de ce soft.
Pour parler des quelques point positif le système de magie a été revu en mieux, les graphismes s'ils sont quasi similaire sont légèrement plus travaillés sur les héros, les magies et les dragons.
On pourra aussi saluer une narration plus présente avec quelques petites phrase entre les niveaux et une intro réussi.
J'ai finis la jeu au second essai en 40 minutes environ.
Les niveaux plat et les boss sans saveur entache le titre, malgré tout le boss et le stage final sont plutôt sympa ce qui permet de finir le jeu sur une note positive vite estompé par une cinématique de fin minable.
Pour conclure Golden Axe II ne semble être qu'une extension du 1 qui n'apporte que très très peu de nouveauté un peu plus de travail n'aurait pas fait de mal.
Si on aime golden axe et son gameplay on est néanmoins content de découvrir la suite mais ce jeu laisse un sentiment de déception évident.

SUPER NINTENDO

En bon gros noob que je suis, je n'avais jamais joué a donkey kong (j'ai eu très peu de jeux sur snes à l’époque).
J'ai donc découvert DK avec la ferme volonté d'en voir le bout et je n'ai pas souvenir d'avoir fait un jeu de plateforme aussi difficile.
Le terminer a du me prendre au moins 10h tellement j'ai fait et refait des niveaux, heureusement qu'on a le système de sauvegarde.
Les pièges sont souvent ultra vicieux, j'ai eu parfois l'impression que les développeurs cherchaient tous les moyens pour corser les niveaux. Il y a un niveau où la lumière s'allume et s'éteint toutes les 3 sec donc il faut se taper des phases de plateforme à l'aveugle... :D
J'ai pris beaucoup de plaisir à le faire et la joie de le finir était d'autant plus grande vu le mal que j'ai eu.
Le boss final est carrément mythique au passage !



Encore une fois la ludotheque de la SNES ne m'est pas familière et c'est sans la moindre nostalgie que j'ai lancé Megaman X sur ma console.
J'ai bien évidemment entendu son nom mais jamais je n'avais joué a un jeu de la saga donc decouverte totale de l'univers et du scenerio.
Puisque j'en parle autant commencer par ça, le scenario aurait put être une grande force du soft puisque je le trouve bien travaillé et intéressant mais malheureusement il n'est que très peu exploré dans le jeu, il faudra lire la notice pour découvrir tout ça.
Je commence avec un défaut comme ça c'est fait puisqu'en dehors d'une séquence avec quelques ralentissement et un classique recyclage de boss je trouve le titre absolument parfait.
N'ayons pas peur des mots, pour etre clair c'est juste le jeu retro le plus genial auquel j'ai jamais joué il prend immédiatement la premiere place dans mon top.
L'univers colorés, fun, travaillé a su me séduire dés le premier niveau.
Les personnages que l'ont rencontre dans l'aventure opposant comme adjuvent sont quasiment tous charismatique au possible, parfois marrant parfois touchant.
Le denouement de l'histoire est d'une rare intensité, aussi epique que dramatique.
Pour parler du gameplay c'est tout simple il n'y a rien a dire c'est le perfection la plus absolue, il n'y a aucune erreur, c'est totalement jouissif de diriger Megaman tant les deplacement sont naturels et bien pensés.
La possibilité de switcher entre les armes grâce au bouton L et R rend le tout hyper dynamique.
la mise en scene magistral et la multitide de detail donne vie a tout les protagoniste on plonge completement dans l'univers.
Des tonnes de petites choses bien pensée comme la fait que les boss reagissent differement selon l'arme avec laquel on les attaques avec des animations bien particulières démontre tout le soin qui a été apporté par capcom.
La difficulté est admirablement bien dosée, une dizaine d'heures voir un peu plus pour le finir, suffisement de difficultés pour avoir un vrai challenge a relevé mais sans tomber dans le masochisme.
Si les niveaux n'offre que peu de challenge les boss eux représentent un véritables défi.
Evidemment Sigma le boss final est un véritable calvaire et il sera nécessaire d'arpenter les niveaux a la recherche de tout les uprades pour le mettre au tapis.
Histoire de finir en beauté capcom a cacher dans un des niveaux un très jolie cadeau, Megaman avec sa derniere upgrade pourra effectuer le hadoken de street fighter, la manip pour le sortir est la meme que dans SF et le petit "hadoken" robotique prononcer par megaman au moment de l'attaque laisse le sourire au levres.

Voila Je pense avoir fait le tour, je ne vais pas me perdre dans les superlatif c'est pour moi une révélation Megaman X est une perle, un véritable chef d’œuvre dans son genre !


Depuis le temps que je le voulais celui la !
Un des rares jeux Snes que j'ai possédé a l’époque, 15 années ont passé depuis ce temps la et le plaisir reste intact, j'ai finis le jeu d'une traite avec un grand plaisir les yeux pleins de nostalgie.
Le soft est rythmé, dynamique, il dispose d'un gameplay admirable comme Capcom sait si bien le faire.
Les animations sont variées et vraiment réussi, le petit Abu qui suit Aladdin dans la plupart des niveaux a toujours une petite mimique marrante a faire selon les situation.
Les niveaux sont variés et pour certains vraiment sublime, je pense surtout a celui en tapis volant ou l'ont est poursuivi par la lave.
En dehors de quelques ennemis farfelus et d'un niveau completement HS l'univers du film est parfaitement respecté, les musiques reprises du long metrage contribuent grandement a l'immersion.
malheureusement le titre n'a pas que des qualités, la difficulté est vraiment mal dosé et le mode normal en dehors d'une ou deux séquences est extrêmement facile, on engloutis les 7 niveaux en a peine moins d'une heure, heureusement la quête des diamant rouge offre un petit challenge supplémentaire.
Le fait qu'il n'y ai que deux boss en tout est également a déplorer, seul le premier et le dernier niveaux en sont dotés mais le boss final très réussi gomme un peu cette absence.
Aladdin sur snes reste un excellent jeu qui étrangement souffre de sa comparaison avec le titre paru sur Mega drive, pourtant il n'a pas grand chose a lui envier...

PLAYSTATION

Dur dur de passer sur un jeux en 3D apres avoir passer des heures sur les consoles 16bit.
La gestion des distance en vue a la troisieme personne combiné avec le moteur physique particulier de crash m'aura demander quelques minutes d'adaptation pour pouvoir prendre plaisir a jouer de nouveau a cet incontournable de la playstation.
A première vue le jeux a plutôt mal vieilli comme beaucoup de jeux sur cette console néanmoins l'univers de crash et un character design intelligent donne au final quelque chose de sympa et largement jouable aujourd’hui encore.
Le jeux est assez long avec 32 niveaux dont la difficulté grandissante freine inévitablement la progression.
Si les boss ne sont pas des plus difficile certains niveaux demande énormément de patience et de connaissance pour être traversés.
C'est d'ailleurs cette difficulté a l'ancienne qui contribue grandement a l’intérêt de ce jeu, les phases a dos de cochon qui varient le gameplay et l'univers propre a la série sont également de gros points positifs.
En ce qui concerne les défauts comme je l'ai évoqué le passage a la 3D rend certaine phases tres compliquées a gérer a cause de la gestion des distance plutôt imprécise, on se fiera plus a sa connaissance des timing qu'a la position de crash sur l’écran pour triompher des niveaux les plus coriaces.
On se rend compte que la 3D n’était pas encore bien maitrisé avec les nombreux bug qui donnent envie de fracasser sa manette contre l’écran.
Les musiques peu memorables et la quasi absence de scenario sont regrettable et ne favorisent pas vraiment l'immersion hormis une sequence d'intro plutot sympa il n'y a pas grand chose a se mettre sous la dent, même la fin est plutôt décevante pour un jeu qui se veut révolutionnaire.

J'ai finis crash bandicoot en 6 heures environ et ça n'aura pas été une partie de plaisir.
Même si j'ai donné plus de défauts que de qualités a ce titre il n'en demeure pas moins culte et j'ai pris plaisir a y rejouer 15 ans plus tard.

[SNES][TEST][Dragon Ball Z: Super Butôden]

Je vous présente ici le meilleur jeu Dragon Ball Z de tous les temps. Pourquoi le meilleur? Parce que c'est le premier jeu de combat DB, qu'il est sorti sur la meilleure console de tous les temps (Super Nintendo), et que j'ai passé des moments magiques en y jouant, c'est le premier jeu sur console auquel j'ai joué (haha oui je sais, c'est très très subjectif haha!).

Jeu édité et développé par Bandai (comme la plupart des jeux DB), ドラゴンボールZ 超武闘伝 (en français : Dragon Ball Z: Super Butôden) est sorti en 1993 sur Super Famicom.

Jeu de combat tout ce qu'il y a de plus standard, il permettait de jouer avec les personnages de son manga préféré, au total 8 personnages :

Gokû	Vegeta	No.20	No.16
Piccolo	Freeza	No.18	Cell

Mais si on faisait un code (ou si on finissait parfaitement le mode histoire avant, ce qui paraît moins faisable ) on débloquait... 5 personnages cachés!!!!

Gokû	Vegeta	No.20	No.16
Piccolo	Freeza	No.18	Cell
Super Saiyan Trunks	Super Saiyan Gohan	Perfect Cell	Super Saiyan Gokû
Super Saiyan Vegeta

Comme dit plus haut, le jeu contient un mode histoire. Ce mode histoire commence à la toute fin de Dragon Ball. Bizarre pour un jeu Dragon Ball Z, mais logique aussi. Le mode histoire commence lors du combat entre Gokû et Piccolo alias Ma Jr lors du 23ème Tenka Ichi Budôkai. Pourquoi est-ce logique de commencer par ce combat? Parce que ce combat est le premier grand combat de Son Gokû devenu (plus ou moins) adulte, contre celui qui sera son rival au tout début de Dragon Ball Z, mais vite détrôné par Vegeta. Le mode histoire commence donc par ce combat pour finir contre Cell. Mais, car il y a un mais, si on finit le mode histoire en perdant avec certains guerriers, et en battant les ennemis avec le mauvais guerrier, on finit contre Cell première forme. Alors que si on fait tout bien, on débloque les super saiyans et on finit contre perfect Cell! Oui, je parle de différents guerriers, ça veut dire que dès qu'on bat un ennemi qui se range à nos côtés dans la série ensuite, on peut se battre avec lui contre les ennemis suivants. Ce qui veut dire qu'au premier combat contre Piccolo, on n'a qu'une seule chance, et plus on avance dans l'histoire et plus on a des "vies", comme on dit dans le jargon du jeu vidéo, et ici les différentes vies sont représentées par les différents personnages.

Quand on commence le mode histoire, le jeu commence directement à partir du menu principal, parce que l'image de fond du menu est le début du combat Gokû vs Ma Jr. :




Pour ce qui est des graphismes je les trouve très beaux, on reconnaît très bien les personnages, les décors sont variés. Les personnages manquent un peu de fluidité dans leurs mouvements, mais ce n'est pas trop grave. Les concepteurs du jeu ont dû trouver une solution pour que l'on puisse faire les attaques spéciales (Kame Hame Ha, Makankosappo) avec les personnages éloignés en distance, alors que tous les jeux de combat de l'époque ne mettaient en scène que du corps à corps. La solution qu'ils ont trouvé : scinder l'écran en deux lorsque les personnages sont loins l'un de l'autre, avec un code de couleurs : lorsque la barre qui scinde l'écran est rose, les personnages sont presque sur le même écran, lorsqu'elle est jaune, ils sont loins l'un de l'autre, lorsqu'elle est bleu foncé, ils sont très loins.

Voici quelques images :




Pour ce qui est de la musique, elle est super sympa, de la bonne musique DB, et fait pleurer quand on l'écoute (nostalgie oblige!)

La jouabilité est plutôt moyenne, une fois qu'on a compris comment jouer, on n'utilise plus que deux touches pour le combat au corps à corps (L ou R), et pour les techniques spéciales... Soit on est en mode manuel, et on s'explose les doigts sans réussir à ne rien faire, soit on est en mode automatique, et une simple pression du bouton A envoie le coup spécial.

Et mon expérience personnelle dans tout ça? J'ai découvert ce jeu en même temps de ma découverte de la Super NES, et en même temps de mon premier contact avec une console de salon. J'étais en CM1, c'était soit le 24 décembre 1997, soit le 31 décembre 1997, je passais soit noël soit le réveillon dans de la famille de mon père. C'était la première fois que j'allais chez eux (depuis, j'ai passé tous mes réveillons et/ou noëls chez eux), j'arrive, je vois une énorme maison, très belle, dans la région parisienne. J'entre, c'est énorme à l'intérieur. On s'installe, on commence à manger, puis au bout d'un moment je me fais chier. Alors, le fils cadet de ceux chez qui on était, qui avait 18 ou 20 ans à l'époque, nous emmène, mon frère et moi, dans le grenier. Un énorme grenier, assimilable à la caverne d'Ali Baba. Deux PC (c'était très rare à l'époque), des bandes dessinées, et bien sûr une télé avec une Super Nintendo et une NES, avec masse de jeux. Il me montre tous ses jeux, et là je vois... Dragon Ball Z!!!!! Je suis trop à fond!! J'y joue, il est trop bien! Ensuite on joue à Mario Kart, je joue à Super Mario World, Zelda A Link to the Past, on joue même au jeu de combat incompréhensible Ranma 1/2!! Ils avaient même le RPG Dragon Ball sur NES!!!!!!! Je ne pense pas l'avoir fini la première fois, j'ai dû le finir un an plus tard. À la rentrée, j'en parle direct à mon pote DBZ, je lui raconte tout le jeu, toujours aussi impressionné par cette merveille!

Voilà pour mon jeu Dragon Ball Z.

[Arnaud] Cool Boarders 1 et 2 : Les précurseurs du genre.

Cooooooool Boardeeeeers !
Cette introduction laissait d'entrée de jeu présager de ce qu'allait être Cool Boarders.
Je vais parler dans cet article principalement du 1er et 2ème opus.


J'ai connu Cool Boarders premier du nom à sa sortie en 1997, la 3D offrait la possibilité de commencer à pouvoir adapter les sports de glisse en jeu et le studio UEP Systems s'est donc lancé dans l'aventure.
Le jeu parait très simpliste quand on le regarde à l'heure actuelle, seulement 2 personnages disponibles, un homme et une femme, 3 courses et 2 de plus à débloquer.
Un contenu très léger, nous sommes d'accord, mais étant donné que ce jeu est très typé arcade, il est difficile de le lui reprocher. Nous pouvons les remercier d'avoir posé les bases, les fondamentaux, des jeux de snowboard en 3D.
Je ne vais pas m'attarder d'avantage sur Cool Boarders, et je vais enchainer sur Cool Boarders 2 !



Cool Boarders 2, sorti en Europe tout juste 1 an après le 1er, m'a juste fait l'effet d'une claque en pleine figure !
Il reprend les bases du premier en les sublimant, le contenu un peu trop maigre du précédant volet se voit un petit peu plus étoffé, avec l'apparition de 4 snowboarders, tous plus classes les uns que les autres.



J'ai toujours adoré la posture qu'ils adoptent sur un snow, très décontractée.
Il y avait 3 autres snowboarders à débloquer, et pas des moindres, puisqu'il s'agit tout simplement d'un Alien, Snow le bonhomme de neige, ainsi qu'un dernier se prénommant "Boss", bronzé et torse tatoué, qui rendait fou lorsqu'on l'avait en face, en tant que concurrent.
Ces personnages sont encore une fois hors-normes, bien à l'image du jeu.


Concernant les pistes, cette fois-ci, nous avons droit à 10 courses, complètement folles.
La prise en main se révèle être délicate, les premières fois que l'on s'y essaye,
mais tellement jouissive après une petite heure de jeu.

Graphiquement, il est dur pour moi d'évaluer 13 ans plus tard, mais à l'époque je le trouvais agréable à l’œil !
Et même aujourd'hui, je ne m'écorche pas les yeux en y rejouant, chose plutôt rare en ce qui me concerne, lorsque je reviens sur une grande partie des jeux Playstation.
Il y a certes, quelques problèmes de textures changeantes, mais qui ne me gênent pas plus que ça au final.


Je me dois de parler également des musiques, surtout que, sans dire de bêtises, il y a une petite particularité.
L'OST de la version JAP et US très rock diffère de la version PAL plus axée Electro /D'n'B.
Il est clair que ce rock Californien correspondait d'avantage au public Américain, mais pourquoi cette différence pour nous, je ne sais pas.
Pour ma part, j'ai une petite préférence pour celles de la version PAL qui se marient bien avec le jeu, sans faire d'overdose. Surement parce que je ne connaissais que celles-là à l'époque.


Autant dire que j'y ai passé des heures et des heures sur ce jeu, seul ou avec des amis, c'était du fun à l'état pur à dévaler les pentes le plus rapidement possible, ou à exploser le score Half Pipe. Ce jeu m'a fait passer de très bons moments, et il continue encore à le faire.


Il y a bien évidemment eu des suites après Cool Boarders 2, mais malheureusement, qui n'avaient plus rien à voir, étant donné que UEP Systems n'a pas développé le 3 et le 4.
Les origines se sont perdues pour laisser place à toutes sortes d'expérimentations très bancales et bien moins fun. Je qualifierai ces "suites", qui n'en ont que le nom, de bouses infâmes.
Donc la série s'est arrêtée pour moi au 2.

UEP Systems a été un précurseur déjanté pour les jeux de snow.
Je pense notamment au grand 1080° snowboarding sur N64, et un peu plus tard à SSX sur PS2 que j'ai vraiment adoré, puisque je retrouvais dedans ce fun omniprésent qu'il y avait dans Cool Boarders 2.

J'ai bien évidemment terminé ces jeux-là et je les possède en boite :

Cool Boarders 1 en version JAP et le 2 en version JAP et PAL.




SSX (JAP) et SSX Tricky (PAL), que j'ai brièvement évoqué.





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